Une couturière décuple ses efforts pour réparer les effets dévastateurs de la guerre et tente de maintenir le lien qui ne tient qu’à un fil. Je dédie ce superbe court métrage symbolique à toutes celles qui réparent, créent du lien, accompagnent, comme par exemples les infirmières qui ont été au front lors du pic de la pandémie dans les hopitaux et les EPHAD. Je l’adresse aussi à tous ceux (et celles) qui entretiennent un climat de tension, de compétition, de performance. Nous sommes à un tournant historique ou nous voyons de très, très près notre fragilité. Il est grand temps d’en finir avec cette guerre permanente contre l’humain et la planète en changeant concrètement nos comportements, en ne détruisant pas la beauté de ce monde. Oui, elle existe! Alan
De Lucrèce ANDREAE, Alice DIEUDONNE, Tracy NOWOCIEN, Florian PARROT, Ornélie PRIOUL, Rémy SCHAEPMAN, étudiants de la formation Conception et réalisation de films d’animation (3me année) de GOBELINS, l’école de l’image.
Pigraï ' Flair / La culture a du sens 
Merci Alan, ce court métrage est très parlant, il montre bien à quel point les liens qui tiennent la société debout sont fragiles. Pendant que certains oeuvrent à bien faire, d’autres détruisent et sèment le désordre. C’est malheureusement bien vrai.
Jolii texte d’introduction également, je suis bien d’accord avec ton point de vue.
à bientôt
Ben
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Superbe comme souvent sur ce site avec un dessin animé très bien réalisé. J’aurais bien aimé que la petite couturière reçoive de l’aide afin de contenir les forces de destructions. Il faut certainement beaucoup d’utopie pour contrer ces forces qui, si elles pensent être dominantes, peuvent nous submerger. A la fin des films j’aime bien que le bon terrasse le méchant 😉
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Oui, comment l’aider? Il y a certainement une réflexion à avoir sur l’origine des guerres, de la folie destructrice de l’homme. Il va falloir qu’on se calme… 😉
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