

Jean Giono est l’auteur de l’homme qui plantait des arbres. Ce livre majeur qui n’est pourtant qu’un livre a semé une graine qui a germé dans beaucoup de cerveaux dont celui de Frédéric Back qui a réalisé le long métrage d’animation qui suit. Le succès de ce film (oscar) fut tel qu’il germa a son tour dans les mains d’enfants qui se mirent à planter des arbres par milliers. Plus tard, Wangari Maathai, kenyane, a fondé » the Green Belt », association de femmes africaines, lassée de la non action d’hommes politiciens corrompus par le pouvoir Elle a obtenu le prix nobel de la paix pour son oeuvre gigantesque en Afrique. Ces trois personnes sont majeures dans cette grande chaine humaine contre le réchauffement climatique. Planter des arbres est une des meilleures garantie pour notre survie puisque cela a un impact à très court terme (5 à 10 ans). Les arbres pompent l’eau du sol, l’évaporent et créent ainsi le cycle de l’eau avec les nuages et la pluie qui revient dans le sol. Mieux, ils créent de l’ombre, bénéfique pour empêcher l’aridification du sol, pour abriter les animaux et les hommes de la chaleur, ils donnent des fruits et des baies et des feuilles qui créent de l’humus. Un arbre sequestre aussi 7,2 kg de CO2 par an (voir lien ci-dessous). Génial, l’arbre, non? A vos arbres citoyens!
http://www.ddmagazine.com/2060-Un-arbre-combien-de-CO2.html
https://centrejeangiono.com/jean-giono/biographie/

Wangari Muta Maathai, née Wangari Muta le 1er avril 1940 à Ihithe1 et morte le 25 septembre 2011 à Nairobi (Kenya), est une biologiste, professeur d’anatomie en médecine vétérinaire et militante politique et écologiste.
Le 8 octobre 2004, elle reçoit le prix Nobel de la paix pour « sa contribution en faveur du développement durable, de la démocratie et de la paix ». C’est la première femme africaine à recevoir cette distinction.